4 oct. 2013

Quand on y pense... partII

Tenir à une personne est néfaste. Nous l'idéalisons à travers nos désirs. Il devient de plus en plus difficile de distinguer la réalité de l'utopie. Alors nous nous attachons à cet idéal, le temps passe, et le rêve s'accroît. Que pouvons-nous faire? Se libérer de cette cause néfaste pour pouvoir connaitre le bonheur brut? Mais il y est déjà trop tard pour ça, sans elle toute votre vie se remet en question, vous êtes perdu. Et puis un jour, vous recevez un message de cet idéal qui vous demande de l'oublier. Alors par fierté, vous le faites. En effet, il n'y a rien de plus douloureux que de retenir une personne qui souhaite partir loin. Et puis, nous courons de base vers ce qui nous fait du mal. Et c'est à partir de ce moment que vous apprenez à sourire en faisant semblant.
Je sais très bien que les semaines à venir seront parfaites. Cependant dans exactement 17 jours, je sais d'avance qu'il manquera un élément à mon bonheur. Mais ce soir j'ai compris, que je ne le verrais que mon imagination...